La mise en ligne de www.achatlocal-consorhonealpes.com qui rassemble un annuaire de fournisseurs, un centre de ressources documentaires et un lieu d'échange de bonnes pratiques, marque une étape décisive dans la concrétisation de la démarche menée en Rhône-Alpes en faveur de l'approvisionnement local de la restauration collective.
Son lancement au cours de la semaine régionale du développement durable vient conforter la volonté de l'Etat d'inscrire ce projet au coeur de sa stratégie de développement durable en Rhône-Alpes.
Fin 2007, l'Etat, les professions agricoles et agroalimentaires et les représentants de la restauration collective signaient un accord cadre associant l'ensemble des opérateurs de ce marché, pour favoriser le développement des démarches d'approvisionnement local de la restauration collective en Rhône-Alpes.
Depuis 1 an, les différents partenaires ont réalisé un état des lieux de la restauration collective et de l'offre en produit locaux, en interrogeant les différents acteurs et en s'appuyant sur des retours d'expériences.
L'analyse des contarintes et des atouts existants a conduit à la conception de différents outils qui permettront de structurer une filière d'approvisionnement en produits locaux répondant aux attentes de la restauration collective.
www.achatlocal-consorhonealpes.com, un nouvel outil de mise en relation des producteurs et des acheteurs de la restauration collective.
L'un des enjeux majeurs de la démarche était de donner aux acheteurs les moyens d'identifier et de choisir des fournisseurs potentiels: c'est chose faite, avec la mise en ligne très prochaine d'un annuaire des fournisseurs de la restauration collective.
Celui-ci permettra d'obtenir le contact des exploitants ou des entreprises susceptibles de répondre à leur demande, à partir de critères de sélection précis.
A terme, 300 fournisseurs seront référencés dans cet annuaire accessible à toutes sructures s'engageant à fournir des denrées dont la matière première principale est d'origine régionale.
http://www.achatlocal-consorhonealpes.com/ se positionne également comme l'espace référent d'informations et d'échanges dédiés à l'approvisionnement local de la restauration collective.
De nombreuses initiatives exemplaires en faveur de l'approvisionnement local de la restauration collective.
La multiplication des expérimentations, émanant à la fois des filières de production agricole, des collectivités locales ou des structures de restauration collective, contribue également à faire chaque jour de ce projet une réalité de plus en plus concrète.
- En témoigne notamment le travail de recensement et d'analyse mené par le syndicat mixte Rhône Pluriel auprès de l'ensemble des acteurs à l'échelle de son territoire, en vue de créer une plate-forme collective d'approvisionnement en produits locaux pour la restauration collective.
- La constitution d'une filière complète d'approvisionnemt en viande bovine de Rhône-Alpes par le restaurateur Prestal, avec la grande boucherie de Montchat et les établissements Gesler, en coopération étroite avec l'organisation professionnelle Beviralp, atteste également avec succès de la faisabilité d'une telle démarche.
Plusieurs structures publiques et privées se sont d'ores et déjà engagées dans la démarche: 3 sociétés de restauration, 3 restaurants inter-administratifs (représentant 650 restaurants collectifs pour un total de plus de 75.000 repas par an).
La démarche d'approvisionnement local de la restauration collective s'inscrit dans le cadre de la stratégie territoriale de développement durable de l'Etat en Rhône-Alpes lancée en 2007 à l'initiative du préfet de région, en écho au Grenelle de l'Environnement.
Elle réunit les services de l'Etat, les professions agricoles et agroalimentaires et les représentants de la restauration collective en Rhône-Alpes: la Préfecture de région, la chambre régionale d'agriculture, Coop de France, l'Association Régionale des Industries de l'Agroalimentaire, le comité R3AP, le CCC Rhône-Alpes, l'ANDRM, l'UNAGRI et FRSEA.
source communiqué de presse du 19/01/09)
jeudi 29 janvier 2009
RHC va distribuer la gamme Labeyrie en Ile de France
Fondée en 1989 par Raymond Houdot, maître fromager, RHC regroupe aujourd'hui les activités des "Salaisons Marcot" et de la "Fromagerie Montorgueil". Elle compte à ce jour 60 salariés.
Elle est présente sur plusieurs marchés de la restauration hors domicile: restauration, hôtellerie, traiteur, catering aérien, export et restauration sociale et approvisionne plus de 1.400 clients avec plus de 1.500 références.
La commercialisation des produits Labeyrie auprès des restaurateurs de Paris et de la région parisienne était effectuée jusqu'alors par l'entreprise elle-même.
Dans un souci de simplification logistique et d'accélération du développement commercial, Labeyrie a confié la diffusion de sa gamme à RHC, distributeur présent dans le secteur de la RHF.
Pour découvrir toute la gamme RHC, cliquez ici.
(source Les marchés-le quotidien de l'agroalimentaire du 27/01/09)
Elle est présente sur plusieurs marchés de la restauration hors domicile: restauration, hôtellerie, traiteur, catering aérien, export et restauration sociale et approvisionne plus de 1.400 clients avec plus de 1.500 références.
La commercialisation des produits Labeyrie auprès des restaurateurs de Paris et de la région parisienne était effectuée jusqu'alors par l'entreprise elle-même.
Dans un souci de simplification logistique et d'accélération du développement commercial, Labeyrie a confié la diffusion de sa gamme à RHC, distributeur présent dans le secteur de la RHF.
Pour découvrir toute la gamme RHC, cliquez ici.
(source Les marchés-le quotidien de l'agroalimentaire du 27/01/09)
mercredi 28 janvier 2009
Coopagri, Even et Terrena créent la 1ère coopérative laitière de l'Ouest
Coopagri, Even et Terrena ont officialisé, ce mercredi à Saint-Grégoire, près de Rennes, la fusion de leurs activités laitières au sein d'une nouvelle entreprise coopérative dont le nom ne sera dévoilé que le 12 juin prochain lors des Assemblées générales des trois coopératives (...) Lire la suite
(source Agrisalon du 28/01/09)
(source Agrisalon du 28/01/09)
Cecab et Coop de Broons rapprochent leurs filières avicoles.
Le groupe coopératif morbihannais Cecab (Theix) et la Coop costarmoricaine de Broons vont raprocher leurs filières avicoles et créer un centre de conditionnement d'oeufs commun.
Les 2 partenaires vont d'abord regrouper leurs services techniques avicoles au sein d'une structure commune au capital 50/50, chargée de l'organisation et du suivi technique de la production d'oeufs.
Toutefois, chaque coopérative conservera ses relations contractuelles avec ses adhérents (100 pour la Cecab, 20 pour la Coop de Broons) et poursuivra la vente des oeufs avec ses partenaires aval habituels: ABCD/Matines pour la Cecab, Houel/Prodi pour la Coop de Broons.
Par ailleurs, les 2 groupes coopératifs envisagent de construire un centre de conditionnement commun à Trémorel (22) qui emploiera les 50 à 60 salariés des centres de Ploërmel de la Cecab (qui a brûlé en mars 2008) et de Lanrelas de la Coop de Broons.
Le nouveau centre, qui sera l'un des plus importants en France, conditionnera entre 500 millions et 700 millions d'oeufs.
En 2007, 745 millions d'oeufs coquilles ont été travaillés dans les 3 centres de conditionnement certifiés ISO9001 de la société ABCD: Ploërmel (56), Brugnens (32), Saint-Chéron-des-Champs (28).
Ils sont commercialisés en G.M.S. notamment sous la marque Matines (dont 45% du capital appartient au groupe Cecab), première marque d'oeufs coquilles en France, et sous la marque Mas d'Auge pour les productions alternatives (R.H.F., etc...).
Par ailleurs, la Cecab a pris une participation dans la Ferme de Kervenac'h, leader français en hard-discount.
La société Coop de Broons est basée à Broons dans les Côtes-d'Armor et a réalisé 140 millions d'euros de C.A.
Créée en 1936 sous la présidence de Célestin Leclerc et une poignée d'agriculteurs du Canton de Broons, la Coop de Broons est devenue un acteur majeur de la filière agroalimentaire coopérative aprés le rachat en 1993 de la S.A. Houel à Lanrelas (centre de conditionnement d'oeufs de consommation), la prise de contrôle en 2001 de la S.A. Fermiers de Bretagne à Erquy (centre de conditionnement et de distribution d'oeufs plein-air, Label Rouge et Bio commercialisés sous la marque "Fermiers d'Argoat") et avec ses filiales Christophe Delmotte, PorAven, 3 Abers et Délices de Ninon.
Pour plus d'information consultez les sites de la Cecab et de la Coop de Broons.
(source Le Télégramme.com du 14/01/09 et l'Usine Nouvelle du 19/06/08)
Les 2 partenaires vont d'abord regrouper leurs services techniques avicoles au sein d'une structure commune au capital 50/50, chargée de l'organisation et du suivi technique de la production d'oeufs.
Toutefois, chaque coopérative conservera ses relations contractuelles avec ses adhérents (100 pour la Cecab, 20 pour la Coop de Broons) et poursuivra la vente des oeufs avec ses partenaires aval habituels: ABCD/Matines pour la Cecab, Houel/Prodi pour la Coop de Broons.
Par ailleurs, les 2 groupes coopératifs envisagent de construire un centre de conditionnement commun à Trémorel (22) qui emploiera les 50 à 60 salariés des centres de Ploërmel de la Cecab (qui a brûlé en mars 2008) et de Lanrelas de la Coop de Broons.
Le nouveau centre, qui sera l'un des plus importants en France, conditionnera entre 500 millions et 700 millions d'oeufs.
En 2007, 745 millions d'oeufs coquilles ont été travaillés dans les 3 centres de conditionnement certifiés ISO9001 de la société ABCD: Ploërmel (56), Brugnens (32), Saint-Chéron-des-Champs (28).
Ils sont commercialisés en G.M.S. notamment sous la marque Matines (dont 45% du capital appartient au groupe Cecab), première marque d'oeufs coquilles en France, et sous la marque Mas d'Auge pour les productions alternatives (R.H.F., etc...).
Par ailleurs, la Cecab a pris une participation dans la Ferme de Kervenac'h, leader français en hard-discount.
La société Coop de Broons est basée à Broons dans les Côtes-d'Armor et a réalisé 140 millions d'euros de C.A.
Créée en 1936 sous la présidence de Célestin Leclerc et une poignée d'agriculteurs du Canton de Broons, la Coop de Broons est devenue un acteur majeur de la filière agroalimentaire coopérative aprés le rachat en 1993 de la S.A. Houel à Lanrelas (centre de conditionnement d'oeufs de consommation), la prise de contrôle en 2001 de la S.A. Fermiers de Bretagne à Erquy (centre de conditionnement et de distribution d'oeufs plein-air, Label Rouge et Bio commercialisés sous la marque "Fermiers d'Argoat") et avec ses filiales Christophe Delmotte, PorAven, 3 Abers et Délices de Ninon.
Pour plus d'information consultez les sites de la Cecab et de la Coop de Broons.
(source Le Télégramme.com du 14/01/09 et l'Usine Nouvelle du 19/06/08)
mardi 20 janvier 2009
Les producteurs français vont constituer une marque privée
A l’initiative de la FNAB, une marque privée collective va être mise en place sur la base de l’ancien cahier des charges national.
L’objectif : mettre en valeur les atouts de la bio à la française. En effet, depuis le 1er janvier 2009, la réglementation européenne ne permet plus de le faire via une marque publique, tel le label AB.
Depuis le 1er janvier 2009, le logo AB apposé sur les produits issus de filière de production de l’agriculture biologique répond aux exigences du cahier des charges européen établi par le règlement européen n°834/2007.
Problème : les exigences européennes sont moins fortes que les exigences nationales qui pré-existaient sous ce même logo AB.
En réaction, les producteurs français de la bio ont émis le souhait de mettre en place une marque privée collective (...) Lire la suite
(source Process Alimentaire du 19/01/09 - article par Pierre Christen)
L’objectif : mettre en valeur les atouts de la bio à la française. En effet, depuis le 1er janvier 2009, la réglementation européenne ne permet plus de le faire via une marque publique, tel le label AB.
Depuis le 1er janvier 2009, le logo AB apposé sur les produits issus de filière de production de l’agriculture biologique répond aux exigences du cahier des charges européen établi par le règlement européen n°834/2007.
Problème : les exigences européennes sont moins fortes que les exigences nationales qui pré-existaient sous ce même logo AB.
En réaction, les producteurs français de la bio ont émis le souhait de mettre en place une marque privée collective (...) Lire la suite
(source Process Alimentaire du 19/01/09 - article par Pierre Christen)
lundi 19 janvier 2009
Promocash, franchise et location gérance.
Entre 2007 et 2008, 85 des 129 magasins Promocash sont passés en locarion gérance.
Promocah compte à ce jour 120 franchisés (dont 90 locataires gérants) et 9 magasins intégrés.
En 2009, Promocash prévoit à la fois une expansion avec l'ouverture de plusieurs magasins en France (l'objectif étant de créer une vingtaine d'établissements dans les 3 ans), et un recrutement destiné aux futurs franchisés investisseurs et/ou futurs locataires-gérants.
Ancienne enseigne de Cash & Carry du groupe Prodirest en France, implantée depuis 1965, Promocash, 2ème enseigne derrière Metro, avec 940 millions d'euros de C.A. en 2007, est l'enseigne de proximité en libre-service de gros dédiée aux professionnels de la restauration et de l'alimentation du groupe Carrefour.
Avec 133 magasins répartis dans toute la France, Promocash offre des magasins à taille humaine qui partagent les valeurs de ses clients.Une large gamme de choix de produits (de 700 à 12.000 références) sont disponibles dans 8 pôles (boucherie, marée, fruits et légumes, frais, épicerie, alcool-brasserie, cave à vins et hygiène-matériel).
La société sert près de 300.000 clients, dont 62% dans les métiers de la restauration.
Découvrez l'ensemble des services de Promocash, en cliquant ici.
(source L'Hôtellerie Restauration du 12/01/09 et Neorestauration du 15/01/09)
Promocah compte à ce jour 120 franchisés (dont 90 locataires gérants) et 9 magasins intégrés.
En 2009, Promocash prévoit à la fois une expansion avec l'ouverture de plusieurs magasins en France (l'objectif étant de créer une vingtaine d'établissements dans les 3 ans), et un recrutement destiné aux futurs franchisés investisseurs et/ou futurs locataires-gérants.
Ancienne enseigne de Cash & Carry du groupe Prodirest en France, implantée depuis 1965, Promocash, 2ème enseigne derrière Metro, avec 940 millions d'euros de C.A. en 2007, est l'enseigne de proximité en libre-service de gros dédiée aux professionnels de la restauration et de l'alimentation du groupe Carrefour.
Avec 133 magasins répartis dans toute la France, Promocash offre des magasins à taille humaine qui partagent les valeurs de ses clients.Une large gamme de choix de produits (de 700 à 12.000 références) sont disponibles dans 8 pôles (boucherie, marée, fruits et légumes, frais, épicerie, alcool-brasserie, cave à vins et hygiène-matériel).
La société sert près de 300.000 clients, dont 62% dans les métiers de la restauration.
Découvrez l'ensemble des services de Promocash, en cliquant ici.
(source L'Hôtellerie Restauration du 12/01/09 et Neorestauration du 15/01/09)
vendredi 16 janvier 2009
Senoble investit en Europe.
En 1921, Sophie Senoble crée une fromagerie artisanale à Jouy. C'est le début d'une grande saga familiale...
En 1940, André Senoble qui succède à sa mère, donne à la fromagerie artisanale une dimension industrielle.
En 1960, Claude Senoble rejoint son père et développe les 1eres fabrications de produits laitiers frais.
Entre 1980- 90, l'arrivée de Marc Senoble aux côtés de son père et la diversification de la production dans les desserts.
Entre 2002 et 2008, implantation industrielle en Europe à Noblejas en Espagne, création d'une filiale en Allemagne, acquisition d'Elisabeth-The-Chef à Leamington Spa près de Birmingham - Société spécialisée dans les desserts frais et pâtisseries fraîches, acquisition d'une usine à Zvolen en Slovaquie, acquisition de Gemerska Mliekaren, usine de poudre de lait et de beurre située en Slovaquie, à proximité de Zvolen, prise de participation majoritaire dans Bergamin, société familiale italienne spécialisée dans les yaourts et fromages frais, et surtout sortie de capital de la société 3i, Senoble redevenant à 100% familiale.
Grâce à ces développement à l'international, les ventes du groupe en Europe représentent désormais 55% de son chiffre d'affaires global de 1,1 milliard d'euros en 2008, avec 3.700 collaborateurs et une place de 3ème fabricant en France, 2ème en Espagne et 1er en Slovaquie.
Beaucoup d'investissements sont prévus, une nouvelle usine au Royaume-Uni pour 2010 après l'acquisition en 2007 de la société Elisabeth-The-Chef, une nouvelle marque en Hongrie baptisée Petit Laitier (traduction française du Hongrois Kis Tejes), acquisition de l'ensemble du capital de l'italien Bergamin début 2010 (aujourd'hui 51%) et lancement en France, au 1er mars 2009 d'une nouvelle gamme de desserts pâtissiers multi-couches en verrines.
Ce dernier développement a nécessité un investissement de 2,5 millions d'euros sur son site basé à Jouy, dans l'Yonne, afin d'installer une salle blanche et le process nécessaire à cette nouvelle technologie.
En 1940, André Senoble qui succède à sa mère, donne à la fromagerie artisanale une dimension industrielle.
En 1960, Claude Senoble rejoint son père et développe les 1eres fabrications de produits laitiers frais.
Entre 1980- 90, l'arrivée de Marc Senoble aux côtés de son père et la diversification de la production dans les desserts.
Entre 2002 et 2008, implantation industrielle en Europe à Noblejas en Espagne, création d'une filiale en Allemagne, acquisition d'Elisabeth-The-Chef à Leamington Spa près de Birmingham - Société spécialisée dans les desserts frais et pâtisseries fraîches, acquisition d'une usine à Zvolen en Slovaquie, acquisition de Gemerska Mliekaren, usine de poudre de lait et de beurre située en Slovaquie, à proximité de Zvolen, prise de participation majoritaire dans Bergamin, société familiale italienne spécialisée dans les yaourts et fromages frais, et surtout sortie de capital de la société 3i, Senoble redevenant à 100% familiale.
Grâce à ces développement à l'international, les ventes du groupe en Europe représentent désormais 55% de son chiffre d'affaires global de 1,1 milliard d'euros en 2008, avec 3.700 collaborateurs et une place de 3ème fabricant en France, 2ème en Espagne et 1er en Slovaquie.
Beaucoup d'investissements sont prévus, une nouvelle usine au Royaume-Uni pour 2010 après l'acquisition en 2007 de la société Elisabeth-The-Chef, une nouvelle marque en Hongrie baptisée Petit Laitier (traduction française du Hongrois Kis Tejes), acquisition de l'ensemble du capital de l'italien Bergamin début 2010 (aujourd'hui 51%) et lancement en France, au 1er mars 2009 d'une nouvelle gamme de desserts pâtissiers multi-couches en verrines.
Ce dernier développement a nécessité un investissement de 2,5 millions d'euros sur son site basé à Jouy, dans l'Yonne, afin d'installer une salle blanche et le process nécessaire à cette nouvelle technologie.
Senoble Food Service, avec sa marque "Le Petit Laitier", est spécialisé dans la distribution d'une gamme spécifique avec des conditionnements adaptés pour la restauration hors domicile.
Découvrez l'ensemble de la gamme Senoble, en cliquant ici.
source Les marchés - le quotidien de l'agroalimentaire du 12/01/09)
jeudi 8 janvier 2009
DGF repris par CDC Capital Investissement
Les fonds de CDC Capital Investissement détiennent maintenant une participation majoritaire dans le groupe DGF, aux côtés de Jean-Luc Champaud, le président et de Eric Chary, membre du directoire.
Le concept DGF est l'association de la qualité, du savoir-faire, du service de proximité et de la formation.
DGF est né de l'initiative d'un groupe de distributeurs en 1986, qui avait pour objectif de proposer aux Métiers de Bouche, des produits d'épicerie, frais et surgelés de qualité adaptés aux besoins des professionnels, principalement pour le secteur de la Boulangerie-pâtisserie.
Le siège social de DGF est basé à Chanteloup les Vignes (78) depuis 1993, le groupe emploie 390 collaborateurs pour un C.A. 2008 de 130 millions d'euros.
DGF c'est plus de 1.500 produits et 4.000 références, plus de 40 distributeurs exclusifs DGF en France et 50 autres dans le monde.
Chaque mois les Chefs DGF élaborent pour les professionnels des recettes originales, simples et économiques, ils assurent dans le cadre de l'International Culinary School, la formation de professionnels des Métiers de Bouche à travers le monde entier.
Découvrez toute la gamme DGF en cliquant ici.
(source Les marchés-le quotidien de l'agroalimentaire du 08/01/08)
Le concept DGF est l'association de la qualité, du savoir-faire, du service de proximité et de la formation.
DGF est né de l'initiative d'un groupe de distributeurs en 1986, qui avait pour objectif de proposer aux Métiers de Bouche, des produits d'épicerie, frais et surgelés de qualité adaptés aux besoins des professionnels, principalement pour le secteur de la Boulangerie-pâtisserie.
Le siège social de DGF est basé à Chanteloup les Vignes (78) depuis 1993, le groupe emploie 390 collaborateurs pour un C.A. 2008 de 130 millions d'euros.
DGF c'est plus de 1.500 produits et 4.000 références, plus de 40 distributeurs exclusifs DGF en France et 50 autres dans le monde.
Chaque mois les Chefs DGF élaborent pour les professionnels des recettes originales, simples et économiques, ils assurent dans le cadre de l'International Culinary School, la formation de professionnels des Métiers de Bouche à travers le monde entier.
Découvrez toute la gamme DGF en cliquant ici.
(source Les marchés-le quotidien de l'agroalimentaire du 08/01/08)
mardi 6 janvier 2009
Tomatoland, l'avenir de la tomate d'industrie française
Une nouvelle usine de transformation de tomates va voir le jour en 2009 à Tarascon (Bouches-du-Rhône).
Elle produira exclusivement du concentré de tomates 10/12 destiné à la fabrication de pizzas et de plats cuisinés sur une surface de 66.000m2 et avec une capacité de transformation de 140 à 150.000 tonnes / an.
Le groupe Tomatoland, spécialisé dans la transformation de la tomate et dirigé par Yanik Mezzadri, est à l'origine de ce projet de 16 millions d'euros.
Positionné sur le ketchup, Tomatoland réunit des agriculteurs, des coopératives, des acteurs de l'agroalimentaire (Heinz, Amora, Campbell) et de l'emballage, des fournisseurs en semences, des spécialistes de la machine agricole et des marques de la grande distribution (Auchan, Carrefour).
En tout, quelques 600 membres répartis dans 70 pays participent à cette place de marché internationale.
Ils y négocient, selon le principe de l'offre et de la demande des tomates, des graines, des concasseurs ou encore des boîtes de conserve.
Le marché de la tomate se scinde en deux, la tomate de bouche, consommée telle que, et la tomate d'industrie qui est transformée pour produire principalement du ketchup.
Cette dernière couvre 25 des 100 millions de tonnes annuelles que représente le marché mondial de la tomate.
L'implantation de l'usine à Tarascon la positionne au centre du triangle Nîmes/Avignon/Arles où sont produites entre 80 et 100.000 tonnes de tomates.
La capacité de transformation de l'usine sera de 1.500 tonnes par jour pour 2009 et 2.500 tonnes pour 2010.
Le marché mondial est en sous-production et ne dispose pas de stocks de concentré. Les négociations sur les prix des contrats ont déjà débuté avec des organisations de producteurs de Provence et Languedoc-Roussillon.
La filière tomate d'industrie a le vent en poupe après des années de dégringolade, les prix sont en hausse pour les producteurs 70 euros la tonne en 2008, 80 à 85 euros la tonne estimés en 2010 et peut-être 100 euros la tonne en 2013, les rendements français sont les plus compétitifs au monde (100 tonnes / ha) et 95% des besoins de consommation sont importés.
Découvrez la place de marché Tomatoland en cliquant ici.
(source Le Journal du net par Ludovic Desautez, Les marchés-le quotidien de l'agroalimentaire du 06/01/09 et FLD web du 03/03/08 - articles par Catherine Brunner)
Elle produira exclusivement du concentré de tomates 10/12 destiné à la fabrication de pizzas et de plats cuisinés sur une surface de 66.000m2 et avec une capacité de transformation de 140 à 150.000 tonnes / an.
Le groupe Tomatoland, spécialisé dans la transformation de la tomate et dirigé par Yanik Mezzadri, est à l'origine de ce projet de 16 millions d'euros.
Positionné sur le ketchup, Tomatoland réunit des agriculteurs, des coopératives, des acteurs de l'agroalimentaire (Heinz, Amora, Campbell) et de l'emballage, des fournisseurs en semences, des spécialistes de la machine agricole et des marques de la grande distribution (Auchan, Carrefour).
En tout, quelques 600 membres répartis dans 70 pays participent à cette place de marché internationale.
Ils y négocient, selon le principe de l'offre et de la demande des tomates, des graines, des concasseurs ou encore des boîtes de conserve.
Le marché de la tomate se scinde en deux, la tomate de bouche, consommée telle que, et la tomate d'industrie qui est transformée pour produire principalement du ketchup.
Cette dernière couvre 25 des 100 millions de tonnes annuelles que représente le marché mondial de la tomate.
L'implantation de l'usine à Tarascon la positionne au centre du triangle Nîmes/Avignon/Arles où sont produites entre 80 et 100.000 tonnes de tomates.
La capacité de transformation de l'usine sera de 1.500 tonnes par jour pour 2009 et 2.500 tonnes pour 2010.
Le marché mondial est en sous-production et ne dispose pas de stocks de concentré. Les négociations sur les prix des contrats ont déjà débuté avec des organisations de producteurs de Provence et Languedoc-Roussillon.
La filière tomate d'industrie a le vent en poupe après des années de dégringolade, les prix sont en hausse pour les producteurs 70 euros la tonne en 2008, 80 à 85 euros la tonne estimés en 2010 et peut-être 100 euros la tonne en 2013, les rendements français sont les plus compétitifs au monde (100 tonnes / ha) et 95% des besoins de consommation sont importés.
Découvrez la place de marché Tomatoland en cliquant ici.
(source Le Journal du net par Ludovic Desautez, Les marchés-le quotidien de l'agroalimentaire du 06/01/09 et FLD web du 03/03/08 - articles par Catherine Brunner)
Coup dur pour les fruits et légumes du grand Sud-Ouest
Début décembre 2008, AREIL-SOLEDOR, le grossiste marmandais de fruits et légumes a été mis en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Bordeaux.
Avec un C.A. de 66 millions d'euros et 200 salariés, le groupe est le numéro deux en fruits et légumes derrière Pomona dans le Sud-Ouest.
Plusieurs sociétés du groupe sont touchées par cette décision: à Marmande (SOLEDOR, COCAGNE FRAICHEUR, PETITS LEGUMES), à Perpignan (SOLEDOR), à Saint Paul Cap de Joux dans le Tarn (MIDI FRAICHEUR) et Bordeaux avec la société Maison LASSERRE, le mandataire basé au MIN - Marché d'Intérêt National de Bordeaux-Brienne.
(source Aquitaine france3.fr du 04/12/08 et Les marchés-le quotidien de l'agroalimentaire du 05/01/09)
Avec un C.A. de 66 millions d'euros et 200 salariés, le groupe est le numéro deux en fruits et légumes derrière Pomona dans le Sud-Ouest.
Plusieurs sociétés du groupe sont touchées par cette décision: à Marmande (SOLEDOR, COCAGNE FRAICHEUR, PETITS LEGUMES), à Perpignan (SOLEDOR), à Saint Paul Cap de Joux dans le Tarn (MIDI FRAICHEUR) et Bordeaux avec la société Maison LASSERRE, le mandataire basé au MIN - Marché d'Intérêt National de Bordeaux-Brienne.
(source Aquitaine france3.fr du 04/12/08 et Les marchés-le quotidien de l'agroalimentaire du 05/01/09)
Regroupement des activités vendéennes de Le Saint
En 2008, le grossiste en fruits et légumes LE SAINT avait repris Devaud, Catalayud et Jardins de l'Ouest, basés en Vendée.
Aujourd'hui, LE SAINT investit 4 millions d'euros pour la construction d'une plate-forme de 4.500m2 sur le parc éco 85 de La Roche-sur-Yon, dans le but de regrouper ses activités vendéennes sur un même lieu.
Adhérent du groupe CRENO depuis 1991, le groupe LE SAINT se compose de plusieurs sociétés sur l'ensemble du grand ouest:
- S.A. LE SAINT à Bourg Blanc (29).
- ARMOR FRUITS à Vannes (56).
- FL 44 à Saint-Nazaire (44).
- BOURGUIGNON à Trémuson (22).
- ELBE FRUITS à Quimper (29).
Le groupe a réalisé un C.A. de 150 millions d'euros en 2008 pour 150.000 tonnes sur une dizaine de départements de l'ouest, au travers d'une clientèle GMS, RHF, commerces de proximité et spécialistes.
Aujourd'hui, LE SAINT investit 4 millions d'euros pour la construction d'une plate-forme de 4.500m2 sur le parc éco 85 de La Roche-sur-Yon, dans le but de regrouper ses activités vendéennes sur un même lieu.
Adhérent du groupe CRENO depuis 1991, le groupe LE SAINT se compose de plusieurs sociétés sur l'ensemble du grand ouest:
- S.A. LE SAINT à Bourg Blanc (29).
- ARMOR FRUITS à Vannes (56).
- FL 44 à Saint-Nazaire (44).
- BOURGUIGNON à Trémuson (22).
- ELBE FRUITS à Quimper (29).
Le groupe a réalisé un C.A. de 150 millions d'euros en 2008 pour 150.000 tonnes sur une dizaine de départements de l'ouest, au travers d'une clientèle GMS, RHF, commerces de proximité et spécialistes.
En 2002, c'est la création de TOP Océan à Trémuson, afin de structurer le développement de l'activité marée au sein des différentes sociétés du groupe.
TOP Océan dispose d'une large gamme de produits de la mer provenant des différents ports du grand ouest.
A découvrir le concept "Boit'à Fruits" pour le goûter à l'école sur le site LE SAINT, le protecteur de la fraîcheur en cliquant ici.
(source Les marchés - Le quotidien de l'agroalimentaire du 05/01/09)
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